Quand la moto remplace vraiment le cheval ! Le nouveau Don Quichotte de Terry Gilliam.

Un polar très noir avec François Civil !

Tout le monde l'a vu et revu !

Certains d'entre nous roulent en Harley à cause de ce chef d'oeuvre.

S'il n'y avait qu'un seul film sur les motos à voir...

Le héros prend sa retraite mais il lui manque des attestations de ses employeurs de jeunesse. Donc, Depardieu enfourche sa Mammuth et part à la recherche de ses anciens patrons, de sa jeunesse, de son passé...

Finalement, heureusement, qu'il est le propriétaire d'une Mammuth, moto mythique et difficile à trouver... cotée à l'Argus, très chère !

Parmi les Molars, il y a ceux qui pensent d'abord à L'Equipée sauvage, avant Easy Rider... A cause de Brando et Marvin ? maybe...

Le bon roule en voiture et les méchants en moto ! Hm, grrr ! Bon, mais c'est Mad Max, quand même ! Les 3 opus et le 4, reboot du 1. On accepte de tous les revoir !

3 films vraiment pétés qui oscillent entre chef d'oeuvre et série Z ! La prestation de Nicolas Cage est jubilatoire. Bon, oui, il en fait des tonnes ! C'est une adaptation réussie du comics de chez Marvel (voir en BDgraphie !).

Motorcycle Heart

Quittons le cinéma pour le documentaire, qui, dans certains cas, possède des frontières communes. L’exemple de ce court métrage, 26 minutes de projection, consacré à l’artiste Niki de Saint Phalle et réalisé par Stéphanie Varela en est un exemple. Il relate la rencontre entre l’artiste et le coureur motocycliste Christian Ravel alors que ce dernier vient de tomber en panne près du domicile de l’artiste.

 
Bien qu’il s’agisse de réaliser avant tout un portrait de l’artiste, l’intention de la réalisatrice fut de l’aborder sur la forme d’une fiction, le scénarisant donc et utilisant des acteurs. Une biofiction en somme, comme on dit aujourd’hui, avec Anna Mouglalis dans le rôle de Niki de Saint Phalle et c’est Hugo Becker qui joue celui de Christian Ravel, bien que des images d’archives présentent ce célèbre pilote des années 70 tout au début du film.  

Disons donc que, plutôt qu'un docu il s'agit d'un court. Et que la moto y cède la place à l’art, ou plutôt l’introduit comme d’ailleurs l’artiste l’avait imaginée lorsqu’elle réalisait cette sculpture bien antérieurement au film. 

PP

 

 

L'ultime randonnée

Un titre francisé complètement à côté de la plaque, ou tout au moins du thème de ce film essentiellement axé sur la confrontation entre deux pilotes de moto. Le titre original, sans doute moins original mais bien plus représentatif « Little Fauss and Big Halsy » est on ne peut plus sobre et proche du sujet en énonçant tout simplement le nom des protagonistes. Il relate la rencontre d’un mécano, génial sous son air d’ahuri, qui se laisse entraîner par un motard professionnel sans réel avenir. Abusé par un passé présenté sous une couche bien épaisse de stuc, aveuglé par la découverte d’une prétendue amitié, Little Fauss abandonne famille et travail pour accompagner Big Halsy dans une dérive toute tracée vers l’échec. Un vieux Dodge, deux Yamaha sur la plateforme ; de ce huis-clos va émerger une confrontation entre deux hommes que tout oppose : cynisme contre franchise, filouterie contre honnêteté. Les jours passent entre route et compétitions, de cross ou de vitesse. Une femme qui lit William S. Burroughs (en l'occurrence, « le festin nu » ce qui bien évident apporte au personnage un indéniable charme) rejoint cette amitié bancale en voie de désintégration lorsque la belle – jouée par la sublime Lauren Hutton – se retrouve enceinte, ce qui n’assagit guère l’équipée.

 

Le film n’a pas eu la faveur du public. Les admirateurs (devrais-je dure les admiratrices ?) de Robert Redford n’ont sans doute pas supporté voir leur idole jouer le rôle d’un opportuniste, vaniteux et roublard. La moto est toujours présente dans ce film qui dresse un portrait grinçant des pilotes professionnels des années 70, à l'époque où les japonaises s'implantaient aux USA. La version originale est ponctuée par des chansons de Bob Dylan interprétées par Johnny cash. La version française nous inflige une traduction des paroles qu’interpète Hugues Aufray. Malgré tout le respect que je porte a ce dernier, ne ratez pas la VO. Ah et en prime le film se termine sur une épreuve se déroulant sur le mythique Sears Point International Raceway de San Francisco, aujourd’hui baptisé Sonoma Raceway. 

PP

 

 

Tout le monde l'a vu et revu, idem !

Certains Molars roulent en Triumph à cause de ce film !

 

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